Luis Caballero (1943-1995)

Luis Caballero (1943-1995)

Luis Caballero (1943-1995)

Luis Caballero - Arte Latinoamericano Paris
© La FM

27 août 1943 – 19 juin 1995, Bogotá

Dessinateur, graveur et peintre. En 1965, Luis Caballero étudie l’art à l’Université des Andes en Colombie, et assiste aux cours de Juan Antonio Roda et Marta Traba, deux artistes reconnus qui auront une influence capitale sur son travail. En 1966, après s’être marié, il devient professeur dans la même école et à l’Université Tadeo Lozano. Il part pour Paris en 1963 et rentre à l’académie de la Grande Chaumière, et réside dans la capitale quelques années. Caballero retourne à Bogotá en 1995 à l’occasion d’une exposition d’un ensemble de dessins, pour beaucoup inédits, à la bibliothèque Luis Ángel Arango.

Puis, Caballero gagne le premier prix en 1968 de la Biennale de Coltejer à Medellín avec son tableau « la chambre de l’amour« . Ouvertement homosexuel, son œuvre se composait principalement de nus masculins lascifs, entre douleur et érotisme, exécutés avec un réalisme inhabituel. Ses influences notables étaient Francis Bacon et De Kooning dans leur représentation graphique et violente de la douleur.

Atteint du SIDA depuis trois ans, l’artiste luttait contre la dégradation progressive de son état qui affectait sa manière de peindre. Il décède brusquement d’une attaque cérébrale à 51 ans, en 1995 à Bogota. L’année suivante, la ville crée la Fondation Luis Caballero en sa mémoire.

Plusieurs de ses estampes sont conservées à la BnF.

Luis Caballero à Paris

Voici une archive de poids : une interview rare dans le programme « Correo Cultural » du méconnu Luis Caballero dans son atelier à Paris, donnant un aperçu sincère et passionné de son travail.

Rodrigo Castaño Valencia est un réalisateur de documentaires, producteur et scénariste colombien qui a travaillé en Israël, au Japon, aux États-Unis et dans d’autres pays. Il a rencontré des personnalités telles que Gabriel García Márquez et Álvaro Mutis. Il n’est pas inconnu du monde de l’Art. Il a réalisé un documentaire sur Frida Kahlo, « Frida Kahlo, entre l’extase et la douleur ». 

 

Peintures

Oeuvres de Luis Caballero

Corps, 1975 Technique mixte 74 x 56 cm

Corps

1975, technique mixte, 74 x 56 cm

Sans titre, 1981 Huile sur toile 194 x 129 cm

Sans titre

1981, huile sur toile, 194 x 129 cm

Sans titre, 1989 Huile sur toile 282 x 29 cm

Sans titre

1989, Huile sur toile, 282 x 29 cm

Sans titre, 1981 Technique mixte 148 x 107 cm

Sans titre

1981, technique mixte, 148 x 107 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Luis Caballero »

2022, Sala de exposiciones Centro Cívico Universitario, Universidad de los Andes, Bogota, Colombie

« Fundación Sura Digitalizes Its Art Collection »

2021, ArtNexus, Colombie, Etats-Unis

« Luis Caballero. I Paint What Moves Me »

2020, ArtNexus, Colombie, Etats-Unis

« Luis Caballero. In memoriam 1943 – 1995 »

2016, Galería El Museo, Bogota, Colombie

« 30 Years Museo Bolivariano de Arte Contemporáneo »

2016, Whitney Museum of American Art, NEw York, Etats-Unis

Contribution dans l’art

Luis Caballero Award

Le prix Luis Caballero est un concours organisé en Colombie dans le but de prendre le pouls de la production des artistes de 35 ans et plus. Il est présenté dans différents lieux de Bogota.

La dernière version du prix m’a donné la satisfaction de renouer avec le travail de trois artistes colombiens qui, depuis les années 1990, proposent de nouvelles façons de conceptualiser l’art lui-même.

 

Publications

Luis Caballero : Erotico

2011, Antonio Caballero, Villegas Editores

Luis Caballero : Homenaje

2008, Antonio Caballero, Benjamin Villegas, Villegas Editores

Luis Caballero : Paintings and Drawings

1992, Edward Lucie-Smith, éditions Aubrey Walte, Londres, Angleterre

Luis Caballero : retrospectiva de una confesión

1991, Biblioteca Luis-Angel Arango, Banco de la República

Carlos Cabeza (1962)

Carlos Cabeza (1962)

Carlos Cabeza (1962)

Carlos Cabeza - Arte Latinoamericano Paris
© Carlos Cabeza

20 juillet 1962, Caracas, Vénézuela

Peintre. Carlos Cabeza étudie l’art à l’école des Arts Appliqués de Caracas. En 1985, il réalise un happening appelé « Mode dans l’art, l’art dans la mode », mélange graphisme et design textile.

De 1981 à 1983, il travaille avec Jesús-Rafael Soto sur l’art cinétique. Cette collaboration sera d’une importance capitale sur ses inspirations et son travail.

Depuis 1986, Cabeza collabore avec des designers et des fabricants de mobilier comme l’Eclaireur et Cappellini, mais aussi des musiciens comme The Aluminium Group of Chicago pour l’album « Happyness ».

Il s’installe à Paris en 1989. Son style est influencé par la pop, la mode et le design, avec des lignes exubérantes et éclatantes.

Ces deux dernières années, il a exposé à Genève, à Brooklyn et Caracas. Cabeza fut résident de la Cité Internationale des Artistes à Paris de 2004 à 2006. Ses travaux ont fait l’objet d’articles dans El Nacional, Economía Hoy, et les éditions françaises de Vogue et Architectural Digest.

Carlos Cabeza, Montmartre

« L’individualité de l’expressivité de Cabeza le place dans une niche spéciale de la peinture contemporaine. J’ai suivi son travail pendant plus d’une décennie, observant des virages artistiques inattendus à chaque étape de ses variations. Cela m’a amené à le considérer comme un artiste analytique très sérieux, calme et conscient de son expression picturale. Cette expression est éminemment personnelle, unique et suggestive, ce qui confère à son œuvre un attrait particulier. On observe ce qui semble être un changement radical dans son imagerie picturale. » Alfredo Boulton

Peintures

Oeuvres de Carlos Cabeza

Rythmique, 2007 Acrylique sur toile 180 x 200 cm

Rythmique

2007, acrylique sur toile, 180 x 200 cm

La piscine, 2007 Acrylique sur toile 220 x 150 cm

La piscine

2007, acrylique sur toile, 220 x 150 cm

Montagne, 2007 Acrylique sur toile

Montagne

2007, acrylique sur toile

Kaléidoscope, 2007 Acrylique sur toile 150 x 220 cm

Kaléidoscope

2007, acrylique sur toile, 150 x 220 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« re-OPEN / re-VALUE »

2022, mendoza.gallery, Caracas, Vénézuela

« CG- Arts Back To Beautiful Celebration »

2018, O. Ascanio Gallery, Miami, Etats-Unis

« Contemporary Expressions & Recent Sculptures by Jorge Blanco »

2015, O. Ascanio Gallery, Miami, Etats-Unis

« Silent Materialism »

2015, O. Ascanio Gallery, Miami, Etats-Unis

« Ryhtmic Flow »

2012, Cappellini Showroom, Paris, France

« Carlos Cabeza : Conscious Painting »

2011, O. Ascanio Gallery, Miami, Etats-Unis

Galeria Graphicart – Magdalena Arria

1981, Caracas, Vénézuela

Collaborations

Cappellini

Depuis 2004.

Cappellini est une entreprise de design et productrice de mobilier Italienne, fondée en 1946 à Carugo par Enrico Cappellini.

 

Publications

Cappellini – Collection/Collezione 2011

2011, Massimo Mutti, Augusto Wagner, éditions Cappellini

 

Jorge Camacho (1934-2011)

Jorge Camacho (1934-2011)

Jorge Camacho (1934-2011)

Jorge Camacho - Latinoamericano Paris
© Zoé Valdés

25 janvier 1934, La Havane, Cuba – 30 mars 2011, Paris

Peintre. Camacho commence des études de droit, mais abandonne en 1952 pour se consacrer à la peinture. L’artiste part pour le Mexique en 1959 et rencontre le peintre José Luis Cuevas. Devenus amis, ils entreprennent un voyage en plein cœur de la culture maya. Ce voyage au Mexique lui permet de découvrir les splendeurs de l’art précolombien, surtout maya, qui nourriront sa vision d’artiste.

La même année, après ce périple, Jorge Camacho s’installe à Paris. Là-bas, Jorge Camacho retrouve le sculpteur Agustin Cardenas qui le présente à son ami André Breton en 1961. L’artiste s’engage avec fidélité à son groupe de surréalistes.

La peinture de Camacho est complexe: visionnaire, surréaliste, emprunt d’un ésotérisme élégant, toujours poétique. Sa passion de l’art précolombien et de l’ornithologie ont une grande influence sur son travail : son iconographie est singulière. Elle est porteuse d’images perturbatrices et inquiétantes, baignant dans une lumière intense et saturée. La richesse de son univers l’a conduit à illustrer les poèmes de Jean-Pierre Duprey, Gilbert Lely, et Guy Cabanel. En 1994, son premier livre de photographies Cruces de Doñana, est publié en Espagne. 

Après son voyage en Andalousie, il revient à Paris en 1975 et y reste jusqu’à sa mort en 2011, à 77 ans.

Jorge Camacho

Réalisateur : Lunaticas Producciones

« A painter in Paris…one artist, one picture…une peintre, un tableaux…un pintor, un cuadro » Tel est le crédo annoncé dans cette vidéo montrant en détail le travail de Jorge Camacho.

L’espace pictural de Jorge Camacho aborde des mondes torturés, où l’ésotérisme le plus sophistiqué côtoie un chamanisme surprenant. Au-delà de ces marques, les tableaux de Jorge Camacho expriment un univers poétique, sous l’éclairage raffiné d’une palette fauve.

Peintures

Oeuvres de Jorge Camacho

L'enfournement, 1965 Huile sur toile 114 x 146 cm

L’enfournement

1965, huile sur toile, 114 x 146 cm

La danse de la mort, 1976 Huile sur toile 162 x 114 cm

La danse de la mort

1976, huile sur toile, 162 x 114 cm

Lisez! 1970 Huile sur toile 146 x 114 cm

Lisez!

1970, huile sur toile, 146 x 114 cm

Jet d'eau n°2, 2004 Huile sur toile 146 x 114 cm

Jet d’eau n°2

2004, huile sur toile, 146 x 114 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Art Latino-Americain »

2022, Galerie les Yeux Fertiles, Paris, France

« Pas le temps de tout détruire sans doute »

2022, Galerie sans titre, Paris, France

« Jorge Camacho »

2021, Galerie les Yeux Fertiles, Paris, France

« Surréalisme, la troisième saison 1945-1966 »

2019, Galerie les Yeux Fertiles, Paris, France

« Jorge Camacho »

2019, Galerie 1900-2000, Paris, France

« Dessin, Abstaction et Surréalisme: Fred Deux, Bernard Saby, Joaquin Ferrer »

2018, Galerie les Yeux Fertiles, Paris, France

« Bonjour | Au Revoir Surréalisme: Prints from the Atelier of Georges Visat »

2018, LSU Museum of Art, Baton Rouge, Etats-Unis

« Around The World Through Tondos »

2017, Galerie Claude Lemand, France

« Jorge Camacho. Elogio de los sueños »

2012, Museo de Huelva, Espagne

Contribution à l’art

Membre des Surréalistes

À Paris, Agustín Cárdenas le présente à André Breton, dont il connaissait le travail depuis longtemps. Jorge Camacho intègre le groupe surréaliste, avec lequel il expose dès 1965.

Publications

Lettres à Margarita & Jorge Camacho

2009, Reinaldo Arenas, éditions Actes sud

Jorge Camacho, les livres illustrés

2009, Christian Nicaise, éditions L’Instant perpétuel

Jorge Camacho, vue imprenable

2004, Anne Tronche, éditions Palantines

Jorge Camacho : Cibles

1993, Galerie Gloria Cohen, Paris, France

Camacho

1974, Galerie Jan Krugier, Genève, Suisse

Jorge Camacho

1973, Galerie de Seine, Paris, France

Sergio de Camargo (1930-1990)

Sergio de Camargo (1930-1990)

Sergio de Camargo (1930-1990)

Sergio de Camargo - Arte Latinoamericano Paris
© Itaú Cultural

1930 – 1990, Rio de Janeiro, Brésil

Sculpteur. A 16 ans, Sergio de Camargo étudie l’art à l’académie Altamira de Buenos Aires sous la conduite d’Emilio Pettoruti et Lucio Fontana. Camargo voyage en Europe en 1948 où il rencontre Constantin Brancusi, Jean Arp et Henri Laurens, sculpteurs reconnus. L’artiste alterne séjours au Brésil en 1953 et expositions dans des galeries à Rio. C’est dans son pays natal qu’il découvre les mouvements émergents du constructivisme et de l’art cinétique. Il en ressort profondément bouleversé et son art s’en ressent. Camargo a découvert que les formes volumétriques capturaient les qualités immatérielles de l’être, et que jouer avec la lumière et la forme servent à exprimer des sentiments d’existence.

C’est l’année suivante qu’il expérimente le bronze dans ses travaux. Puis il décide de s’installer à Paris en 1961, où il fait partie du Groupe de Recherche d’Art Visuel: le G.R.A.V. Il gagne de nombreuses distinctions dans les années 60. Camargo utilise divers matériaux à travers son existence: sable et tissu en 1963, bois en 1963, les années suivantes le marbre. Le but est d’exprimer la sensation de plein et le vide, l’harmonie, avec des jeux d’ombres et de lumière.

Sergio de Camargo rentre à Rio en 1975 et y reste jusqu’à sa mort en 1990, et reste à ce jour l’un des plus importants sculpteurs brésiliens. La Tate Gallery de Londres possède une œuvre de de Camargo dans sa collection permanente.

Sergio Camargo’s « White Relief No.349 »

Réalisateur : Leon Tovar Gallery

Dans cette vidéo, Leon Tovar Gallery explore l’artiste latino-américain Sergio Camargo et sa pièce de 1971 « White Relief No.349 ».

Leon Tovar Gallery est basée à New York, spécialisée dans l’art latino-américain moderne et d’après-guerre. Après trente ans d’activité, la galerie s’attache toujours à promouvoir la recherche et la visibilité sur le marché d’artistes révolutionnaires qui font partie intégrante de toute histoire complète du modernisme.

Peintures

Oeuvres de sergio de camargo

Sans titre, 1965 Marbre de Carrare 23 x 21 x 15 cm

Sans titre

1965, marbre de Carrare, 23 x 21 x 15 cm

Relief n°175, 1967 Bois peint en relief 21 x 16 x 8 cm

Relief n°175

1967, bois peint en relief, 21 x 16 x 8 cm

Sans titre, 1963 Bois peint 60 x 80 cm

Sans titre

1963, bois peint, 60 x 80 cm

N°415, 1973 Marbre de Carrare 20 x 18 x 10,5 cm

N°415

1973, marbre de Carrare, 20 x 18 x 10,5 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Sergio de Camargo »

2023, Cecilia Brunson Projects London, Londres, Royaume-Uni

« An Act Of Seeing That Unfolds: The Susana And Ricardo Steinbruch Collection »

2023, Museo Reina Sofía, Madrid, Espagne

« Third Eye: The Costantini Collection in Malba »

2023, Museo de Arte Latinoamericano de Buenos Aires Malba, Argentine

« Limiti di Equilibrio »

2022, Studio Gariboldi, Milan, Italie

« Géométries Instables »

2022, Galleria Continua, Paris, France

« Sergio Camargo: Small Formats »

2022, Galerie Raquel Arnaud, São Paulo, Brésil

« Our North Is The South »

2022, Gomide&Co, São Paulo, Brésil

« Harmless Vice : The Artist as Collector »

 2021, Galerie Raquel Arnaud, São Paulo, Brésil

Récompenses

Prix ​​de la meilleure rétrospective de l’année

1980, Musée d’art de São Paulo, Brésil

Prix international de la sculpture

1977, Biennale de Paris, France

Prix ​​de la meilleure exposition de sculpture de l’année

1966, Cabinet des arts graphiques, São Paulo, Brésil

Prix national de la sculpture

1965, VIIIe Biennale internationale de São Paulo, Brésil

Prix international de sculpture

1963, IIIe Biennale de Paris, Paris, France

Exemption du jury

1960, IXe Salon national d’art moderne, Rio de Janeiro, Brésil

Publications

Sergio Camargo: Luz E Sombra

2007, Ronaldo Correia De Brito, éditions Arauco 

Sergio Camargo – Coleção Espaços da Arte Brasileira

2000, Ronaldo Correia De Brito, éditions Cosac & Naify

Sérgio Camargo. Construção

1990, Sónia Salztein, Gabinete de Arte Raquel Arnaud, São Paulo, Brésil

Sergio Camargo – Volumi bianchi

1981, Centro Iniziative Culturali Pordenone, Italie

Sergio Camporeale (1937)

Sergio Camporeale (1937)

Sergio Camporeale (1937)

Sergio Camporeale - Arte Latinoamericano Paris

© Sergio Camporeale

1937, Buenos Aires –

Peintre. Il sort diplômé de l’Escuela Nacional de Bellas Artes Prilidiano Pueyrredón en 1961.

En 1976, il s’installe à Paris avec sa compagne, la peintre Delia Cugat, pour deux décennies. Il présente sa série « Portraits de Famille » à la galerie Francony à Paris. Il reçoit le prix Halib Gargour en 1991. En 1998, Camporeale exposr au Musée national des Beaux-Arts de Paris, au Museo Nacional de Bellas Artes de Buenos Aires et au Museo de Arte Contemporáneo de Panamá. C’est au milieu des années 80 que Camporeale s’oriente vers la production d’aquarelles en raison d’un problème médical au bras qui l’empêche de continuer à travailler à un chevalet. Cette blessure l’a contraint à dessiner en position horizontale et, ce faisant, il a découvert un nouvel univers esthétique.

Le style de Camporeale évolue, marqué par la blessure de son bras qui provoque indirectement une incroyable maîtrise de l’aquarelle. Son œuvre récente est paradoxale. Les compositions révèlent une profondeur thématique, un sens du cynisme et une sûreté du trait qui sont le résultat de sa longue carrière artistique.

Camporeale et son épouse Delia Cugat sont retournés à Buenos Aires dans les années 2000. En 2011, l’artiste participe à l’exposition Latin American Artists of Italian Descent à Washington D.C.

Ses œuvres font partie de collections de musées en Suisse, aux États-Unis, au Venezuela, en Colombie et en Argentine.

« Teatro del Absurdo »

Le Mardi 11 juin 2013 a eu lieu le vernissage de l’exposition « Teatro del Absurdo » de l’artiste argentin Sergio Camporeale. Cette exposition est présentée grâce aux énergies combinées du Centre culturel péruvien-nord-américain et de la Galería Enlace Arte Contemporáneo. L’exposition a été présentée jusqu’au 26 juillet 2013, à la Galería de Arte del Cultural, au 109 Melgar Street.

Le Centro Cultural Peruano Norteamericano sont les promoteurs de la culture et centre d’enseignement de la langue anglaise. Leurs agences sont dans le sud du Pérou Arequipa, Puno, Juliaca, Moquegua, Ilo et Tacna.

Peintures

Oeuvres de Sergio Camporeale

Levitación III, 1983, aquarelle avec crayon et encre, 150 x 200 cm

Levitación III

1983, aquarelle avec crayon et encre, 150 x 200 cm

La Anunciación, 1991, aquarelle, 80 x 120 cm

La Anunciación

1991, aquarelle, 80 x 120 cm

El encuentro, 1983, aquarelle avec crayon et encre, 56.5 x 76.2 cm

El encuentro

1983, aquarelle avec crayon et encre, 56.5 x 76.2 cm

La prediccion, 1991, aquarelle, 80 x 120 cm

La prediccion

1991, aquarelle, 80 x 120 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

Delia Cugat, Sergio Camporeale, Pablo Obelar, Daniel Zelaya : Grupo Grabas

2022, galerie Jacques Martinez, Buenos Aires, Argentine

Camporeale : Hommage

2008, Banco Central, Buenos Aires, Argentine

16ª. Muestra de Pintura Latinoamericana

2006, Galería Espacio, San Salvador, Salvador

Pintura Latinoamericana

2004, Etra Art Gallery, Miami, Etats-Unis

Maestros Latinoamericanos

2002, Galería Habitante, Panama City, Panama

Arte’BA 2000

2000, Galería Laura Haber, Buenos Aires, Argentine

Camporeale : Works 1993-1996

1997, Latin American Art Museum, Long Beach, Etats-Unis

Camporeale : Works 1993-1996

1997, Museo de Arte Contemporaneo, Panama City, Panama

Galería Pecanins

1977, avec le groupe « Grabas », Mexico, Mexique

Récompenses

Prix Hommage

2008, Banco Central, Buenos Aires, Argentine

Prix Constantini 2000

2000​, Museo Nacional de Bellas Artes, Buenos Aires, Argentine

Prix Halib Gargour

1991​, XXIV Prix International d’Art Contemporain de Monte-Carlo, Monaco

Grand Prix

1987​, Festival International de la Peinture, Cagnes-sur-Mer, France

Grand Prix

1986, Bienal Americana de Arte, Cali, Colombie

Prix International de Dessin Joan Miro

1973​, Barcelone, Espagne

Prix International Biella per l’incisione

1973​, Biella, Italie

Troisième Prix

1971, Salón Municipal de la Ciudad, Buenos Aires, Argentine

Médaille d’Argent

1971, Bienal Americana de Arte, Cali, Colombie

Publications

Delia Cugat, Sergio Camporeale (1989-1992)

1992, Damian Hayon, Galerie d’Art de Francony

Sergio Camporeale. Aquarelles/Watercolours Portraits De Famille / Family Portraits

1989, Damian Hayon, Galerie d’Art de Francony