Leonor Fini (1908-1996)

Leonor Fini (1908-1996)

Leonor Fini (1908-1996)

Leonor Fini - Arte Latinoamericano Paris
© Leonor-fini.com

30 août 1908, Buenos Aires, Argentine – 18 janvier 1996, Paris, France

Peintre, décoratrice, écrivain. Leonor Fini est d’ascendance italienne et argentine, et passe son enfance à Trieste. Elevée dans un milieu bourgeois, elle acquiert très tôt une solide culture artistique.

A 17 ans, elle part pour Milan et commence à peindre des toiles classiques. En 1937, Leonor Fini s’installe à Paris et fait la connaissance des surréalistes de leur « chef » André Breton. Malgré son intérêt dans le mouvement et sa sympathie pour George Bataille et Max Ernst, elle n’apprécie pas les réunions et les groupes. Elle expose à New York en 1939, où sa peinture trouve un certain écho. L’artiste réalise également des portraits d’Anna Magnani et Jean Genet, et réalise pas moins de 40 expositions à travers le monde.

Son style est onirique, surréaliste et inquiétant – voire cruel, où les chats et les femmes occupent une place majeure. Pour elle, le chat est un animal féminin en puissance, à la doux et violent, tandis que la femme est tour à tour amante, enchanteresse, sorcière ou démone.

Leonor Fini meurt le 18 janvier 1996 dans un hôpital de la banlieue parisienne, sans jamais avoir cessé de peindre et d’écrire. Elle fait la demande ultime à ses héritiers de ne vendre son appartement qu’après la mort du dernier de ses 17 chats, animaux qu’elle affectionnait beaucoup. La chanteuse Madonna, amatrice de Fini, lui rendra hommage dans le clip Bedtime Story en 1994, tiré de l’album du même nom.

Leonor Fini en 3 coups de pinceau

Comment reconnaître une oeuvre de Leonor Fini dans un musée ? La réponse en 3 coups de pinceau !

Apprendre à reconnaître le style de Klimt, comprendre la carrière artistique de Dalí, voyager dans une peinture de Bacon, parler de la représentation du sexe dans l’art : ici on va faire tout ça !

Vulgariser l’histoire de l’art ? Naturellement ! Mais avec un petit air de Daniel Arasse sous acide seulement !

Peintures

Oeuvres de leonor fini

Le bout du monde, 1948 Huile sur toile 55 x 85 cm

Le bout du monde

1948, huile sur toile, 55 x 85 cm

Couturière, 1978 Huile sur toile 50 x 85 cm

Couturière

1978, huile sur toile, 50 x 85 cm

Dimanche après-midi, 1980 Huile sur toile 60 x 85 cm

Dimanche après-midi

1980, huile sur toile, 60 x 85 cm

Autoportrait, 1943 Huile sur toile 61 x 50 cm

Autoportrait

1943, huile sur toile, 61 x 50 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Leonor Fini et le Théâtre »

2022, Galerie Minsky, Paris, France

« Leonor Fini »

2021, Galerie Minsky, Paris, France

« Narcisse incomparable »

2020, Galerie Minsky, Paris, France

« Oeuvres choisies« 

2017, Galerie Minsky, Paris, France

« Réalisme Irréel: Leonor Fini »

2015, Weinstein Gallery, San Francisco, Etats-Unis

« Leonor Fini / Pourquoi pas? »

2014, Bildmuseet Umeå Universitet, Umeå, Suède

« The Sphinx’s Riddle : The Art of Leonor Fini »

2012, Weinstein Gallery, San Francisco, Etats-Unis

« Leonor Fini, An Italian in Paris »

CFM Gallery, New York, Etats-Unis

Récompenses

Prix de la critique des meilleurs costumes de théâtre

1969, pour « Le Concile d’amour » d’Oskar Panizza, Théâtre de Paris, France

 

Publications

Leonor Fini : Catalogue raisonné of the oil paintings volume 1, 2 et 3

2021, Richard Overstreet, Peter Webb, éditions Scheidegger & Spiess, Zurich, Suisse

Leonor Fini, André Pieyre de Mandiargues, L’Ombre portée – Correspondance 1932-1945

2010, Leonor Fini, André Pieyre de Mandiargues, éditions Le Promeneur, Paris, France

Leonor Fini, Le Miroir des chats

2008, Richard Overstreet, éditions Slatkine, Suisse

Leonor Fini, Métamorphose d’un art

2007, Peter Webb, éditions Actes Sud, Arles, France

Leonor Fini

1994, Richard Overstreet, éditions Michele Trinckvel

Les aquarelles de Léonor Fini

1983, Marcel Van Jole, éditions Poséidon

Leonor Fini

1981, Richard Overstreet, éditions Hervas

Samson Flexor (1907-1971)

Samson Flexor (1907-1971)

Samson Flexor (1907-1971)

Samson Flexor - Arte Latinoamericano Paris

© Archives Samson Flexor

9 septembre 1907, Soroca, Moldavie – 31 juillet 1971, São Paulo, Brésil

Peintre, dessinateur. Il naît dans une famille juive, en Moldavie, dans des circonstances certainement difficiles, mais peu documentées en raison de la nature secrète de l’artiste durant cette période. Ses parents le font entrer à l’école des Arts d’Odessa où il déménage. Après son enseignement, Flexor part à Bruxelles en 1922 à l’âge de 15 ans où il étudie la chimie et la peinture. Il subit plusieurs drames dans sa vie comme la perte de son frère à l’âge de 10 ans et la maladie de sa mère. En 1926, il s’installe à Paris et entre à l’école Nationale des Beaux-Arts, et devient élève de Lucien Simon. Samson Flexor suit également des cours d’histoire à la Sorbonne, et les enseignements de Roger Bissière. Pendant la guerre, Flexor perd sa première femme Tatiana durant un accouchement difficile, ce qui le marque profondément. Il part pour le Brésil avec ses deux autres enfants. Malgré des conditions précaires, Flexor est bien reçu. Il est aidé par la famille de sa mère et ses amis brésiliens dans ses projets artistiques. L’artiste était le chef et l’enseignant de l’école-atelier connue sous le nom d’Atelier Abstração à São Paulo, en 1951.

Il s’inspire de l’imagerie religieuse, et passe par différents mouvements artistiques : figuration, cubisme, lyrisme. Enfin, sa période la plus recherchée et la plus célèbre, est l’art abstrait.  Indirectement, sa vie est le fil conducteur de son oeuvre, les formes abstraites représentent alors les tourments de l’existence. Abstractionnisme géométrique ou lyrique s’accordent avec la perte des repères, la désillusion ou les espérances fragiles sur un meilleur futur.

Il décède en 1971 à Saõ Paulo, à l’âge de 64 ans. Samson Flexor est considéré comme le pionnier de l’art abstrait brésilien. Il connaît actuellement une reconnaissance de son travail longtemps oublié grâce à son fils André Flexor.

Samson Flexor : au-delà de la modernité

Minidocumentaire sur l’exposition « Samson Flexor : au-delà du moderne », présentée au MAM São Paulo du 22 janvier au 26 juin 2022. La vidéo accompagne la commissaire Kiki Mazzucchelli dans une visite des noyaux de l’exposition. Connu comme l’un des pionniers de l’abstraction au Brésil, Flexor a participé activement à cet important mouvement de renouveau des arts visuels dans le pays dans les années 1950. Sa contribution à l’abstraction géométrique, tant dans son travail d’artiste que dans celui d’enseignant d’une nouvelle génération dans son Abstraction Studio dans les années 1950, est largement reconnue par les critiques. Cependant, ses développements ultérieurs, caractérisés par une abstraction lyrique ou informelle et un retour à la figuration dans les cinq dernières années de sa vie, restent peu connus du public.

Peintures

Oeuvres de Samson Flexor

Série religieuse 3, 1943 Huile sur toile 140 x 210 cm

Série religieuse 3

1943, huile sur toile, 140 x 210 cm

Formes, 1951 Acrylique sur toile 100 x 80 cm

Formes

1951, acrylique sur toile, 100 x 80 cm

Série religieuse 2, 1943 Huile sur toile 140 x 210 cm

Série religieuse 2

1943, huile sur toile, 140 x 210 cm

Geométrico #II, 1952<br />
huile sur toile, 60 x 81 cm

Geométrico #II,

1952, huile sur toile, 60 x 81 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Samson Flexor : Além do Moderno »

2022, Musée d’art moderne de São Paulo, Brésil

« Samson Flexor -Traçados e Abstrações »

2017, Musée d’art contemporain de l’Université de São Paulo (MAC-USP), Brésil

« One Hundred years / One hundred works »

2007, Musée national des beaux-arts, Chișinău, Moldavie

« Tudo é Desenho »

2004, Centro Cultural São Paulo, Brésil

Ricardo Camargo Galeria

2004, São Paulo, Brésil

« Samson Flexor: modulações »

2003, Galeria de Arte do Sesi, São Paulo, Brésil

« Modernismo : da Semana de 22 »

2002, Centro Cultural São Paulo, Brésil

« Museu de Arte Brasileira: 40 anos »

2001, MAB FAAP (Museu de Arte Brasileira), São Paulo, Brésil

Récompenses

Grand Prix Panaméricain de Peinture

1970, 1ère Biennale de Montevideo, Uruguay

Prix Paul Guillaume

1939, Galeria Berheim Jeune, Paris, France

Prix Paul Guillaume

1937, Galeria Berheim Jeune, Paris, France

Publications

« Samson Flexor: além do moderno »

2022, Kiki Mazzucchelli, Museu de Arte Moderna de São Paulo, Brésil

« Samson Flexor. Modulações »

2003, Denise Mattar, Instituto Moreira Salles, São Paulo, Brésil

Lucio Fontana (1899-1968)

Lucio Fontana (1899-1968)

Lucio Fontana (1899-1968)

Lucio Fontana - Arte Latinoamericano Paris

© Mazzoleni Art

19 février 1899, Rosario, Argentine – 7 septembre 1968, Comabbio, Italie

Plasticien. Fontana passe sa petite enfance en Italie avant de partir pour l’Argentine en 1905. Il retournera pourtant en Italie en 1927 pour étudier la sculpture avec Adolfo Wildt et expose pour la première fois en 1930. Puis, l’artiste s’installe à Paris en 1935 où il rejoint le groupe Abstraction-Création. Durant cette période, l’artiste réalise des sculptures expressionnistes en céramique et en bronze. Elles seront exposées au MNAM de Paris en 1947. La même année, il revient à Milan.

C’est à partir de 1949 qu’il expérimente les dégradations volontaires sur les toiles: durant une exposition parisienne, un coup de canif entaille accidentellement une toile mais Fontana la garde telle quelle. Selon l’artiste, l’entaille libère la toile pour atteindre un espace infini. C’est les débuts du spatialisme.

De retour à Milan après un séjour new-yorkais au début des années 1960, l’artiste s’installe finalement à Comabbio, commune de Lombardie, située dans la province de Varèse et berceau de sa famille, où il meurt le 7 septembre 1968.

La galerie Tornabuoni Art présente, en 2014, une exposition de l’artiste autour d’une œuvre qu’elle a repérée grâce à un document filmé, où l’on aperçoit Lucio Fontana en train de la perforer. Une fondation a été créée en Italie en 1982 afin de protéger et promouvoir les oeuvres de l’artiste.

Entailles et perforations, la marque de fabrique de Lucio Fontana

Réalisateur : Wocomo FR

Lucio Fontana, né le 19 février 1899 en Argentine et mort le 7 septembre 1968 en Italie, était peintre, sculpteur et fondateur du spatialisme, un mouvement associé à l’art informel. Il est notamment connu pour avoir pratiqué des incisions et des perforations dans ses toiles.

Dans chaque épisode de « 1 000 chefs-d’œuvre », un tableau est présenté. L’analyse le compare à des œuvres apparentées et le replace dans le contexte de la vie de l’artiste ainsi que dans sa période de création. La série couvre un éventail d’œuvres, par des peintures du XVème siècle jusqu’à l’art moderne.

Peintures

Oeuvres de Lucio Fontana

Concetto spaziale, Attese, 1965 Huile sur toile 81 x 100 cm

Concetto spaziale, Attese

1965, huile sur toile, 81 x 100 cm

Concetto Spaziale, 1961, huile dorée sur toile, 52.0 x 42.0

Concetto Spaziale

1961, huile dorée sur toile, 52 x 42 cm

Concetto spaziale, Attesa, 1966 Acrylique sur toile 22 x 18 cm

Concetto spaziale, Attesa,

1966, acrylique sur toile, 22 x 18 cm

Concetto Spaziale, 1959, acrylique sur toile, 31 x 24 cm

Concetto Spaziale

1959, acrylique sur toile, 31 x 24 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Lucio Fontana : Sculpture »

2023, Hauser & Wirth Gallery, Zurich, Suisse

« La luce del nero »

2022, Fondazione Burri Palazzo Albizzini Collezione, Città di Castello PG, Italie 

« Lucio Fontana : Ceramics »

2020, Galerie Karsten Greve, Cologne, Allemagne

« Lucio Fontana. Sur le seuil »

2019, Musée Guggenheim, Bilbao, Espagne

Rétrospective Lucio Fontana

2019, Met Breuer, New York, Etats-Unis

Lucio Fontana: Ambienti/Environments

2017, Pirelli HangarBicocca, Milan, Italie

Rétrospective Lucio Fontana

2014, Musée d’Art Moderne de Paris, France

33e Biennale de Venise

1966, Venise, Italie

Martha Jackson Gallery

1961, New York, Etats-Unis

Récompenses

Grand Prix de Peinture

1966, 33e Biennale de Venise, Italie

Publications (sélection)

Lucio Fontana : Sculpture

2023, Luca Massimo Barbero, Paolo Laurini, Cristina Beltrami, Maria Villa, Hauser & Wirth Publishers, Zurich, Suisse

Lucio Fontana/Antony Gormley

2022, Luca Massimo Barbero, éditions Marsilio Arte, Venise, Italie

Lucio Fontana: The Conquest of Space

2022, Colin Huizing, nai010 publishers, Rotterdam, Pays-Bas

Audible Presence : Lucio Fontana, Yves Klein, Cy Twombly

2016, William Klein, Rainer Rilke, Elena Geuna, Michel Chion, Tacita Dean, Lévy Gorvy Gallery, New York, Etats-Unis

Lucio Fontana : Catalogue Raisonne of the Works on Paper

2014, Luca Barbero, éditions Skira, Paris, France

Lucio Fontana : Catalogue Raisonne Di Sculture, Dipinti, Ambientazioni Tomo II

2006, Enrico Crispolti, Nini Ardemagni Laurini, Valeria Ernesti, éditions Skira, Paris, France

José Franco (1958)

José Franco (1958)

José Franco (1958)

José Franco - Arte Latinoamericano Paris

© José Franco

1958, La Havane, Cuba

Peintre. José Franco étudie la peinture à l’école d’Arts Plastiques San Alejandro à La Havane en 1974. Quatre ans plus tard, il étudie à l’ISA, Institut Supérieur des Arts de La Havane. Il en sort diplômé en 1983 et devient professeur d’art à l’école primaire et membre du groupe « 4 x 4 » dont fait partie entre autres Moïses Finalé, Gustavo Acosta et Carlos Alberto García. Tout comme Nelson Dominguez, l’artiste fait partie de l’Union des Ecrivains et Artistes de Cuba (UNEAC).

Il commence la même année à exposer ses premiers travaux tout en étant professeur à l’ISA. Franco séjourne trois ans à Paris avant de s’installer à Buenos Aires, où il ouvre son atelier, le « taller Franco », où il donne des cours, expérimente et apprend la peinture.

C’est un style évidemment pop qu’il a adopté, avec des consonances cubaines. Couleurs fortes, formes rondes et sensuelles et intérêt pour la faune se ressentent de manière vibrante dans son art. Son exposition de 2008 « Enlazador de mundos » est une réflexion douce-amère sur la nature et son devenir, incertain en raison de la disparition de certaines espèces animales et végétales.

Ferrari, José Franco

Réalisateur : Ricardo Vega pour la Fondation Cherqui

À cette occasion, José Franco transpose son idée créative sur l’une des machines les plus parfaites créées par l’homme, une Ferrari, où nous le voyons sans doute s’amuser en l’habillant de sa cosmogonie inspirée du règne animal et végétal. Le film de cette performance a été réalisée par Ricardo Vega en 2007 avec Lunáticas Producciones.  La Fondation Cherqui est un véritable musée qui abrite une collection privée de 5.000 oeuvres d’art optique et cinétique qui s’ouvre au grand public. Le petit-fils du collectionneur Jean Cherqui organise des visites guidées au coeur de l’immense collection de son aïeul à Paris.

Peintures

Oeuvres de José Franco

Terre, 2010 Huile sur toile 80 x 100 cm

Terre

2010, huile sur toile, 80 x 100 cm

Eau, 2010 Huile sur toile 80 x 100 cm

Eau,

2010, huile sur toile, 80 x 100 cm

Ferrari, 2010 Peinture sur voiture Installation

Ferrari

2010, peinture sur voiture, Installation

La conversation, 2007 Acrylique sur toile 150 cm x 200 cm

La conversation

2007, acrylique sur toile, 150 cm x 200 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Tout le poids d’une île »

2022, Musée des Beaux Arts de Rennes, France

« Enlazador de mundos »

2008, Centro Cultural Recoleta, Buenos Aires, Argentine

« Sueño con Daín »

1999, La Rama Dorada Gallery, Panama City, Panama

« Extraños encuentros »

1997, Der Brücke Contemporary Art Gallery, Buenos Aires, Argentine

« La escritura de Dios »

1995, Banco Patricios Foundation, Buenos Aires, Argentine

« Pinturas, dibujos e instalaciones »

1994, MAC Panamá (Museum of Contemporary Art), Panama City, Panama

« Energía natural »

1993, Félix Gallery, Caracas, Venezuela

« Ecology vs. Technology »

1992, The Space Gallery, Boston, Etats-Unis

« Riing..! Grrr…! »

1990, Castillo de la Real Fuerza, La Havane, Cuba

Structures

Taller José Franco

Atelier d’artistes ouvert en 2009 comme classe préparatoire pour les écoles d’art, à Buenos Aires, Argentine.

Il propose des cours de peinture, dessin, appréciation de l’art contemporain, apprentissage clinique des œuvres d’art, papier mâché, sérigraphie et mosaïque, préparation aux écoles d’art et soutien aux étudiants de l’IUNA. Des cours y sont prodigés, personnalisés et en groupe, débutants et avancés.

 

Publications

Tout le poids d’une île. Collectionner l’art cubain

2022, François Vallée, musée des Beaux-Arts de Rennes, Bernard Chaveau éditions, France

Trajectoire cubaine : José Bedia – Humberto Castro – Moisés Finalé – José Franco.

1989, Centre d’Art Contemporain (CAC) de Corbeil-Essonnes, France