Wifredo Lam (1902-1982)

Wifredo Lam (1902-1982)

Wifredo Lam (1902-1982)

Wifredo Lam - Arte Latinoamericano Paris
© Man Ray

8 décembre 1902, Sagua La Grande, Cuba – 11 septembre 1982, Boulogne-Billancourt, France

Peintre. Wifredo Lam est cantonais par son père et congolais et espagnol par sa mère. Celle-ci, fervente catholique, et sa marraine, Antonica Wilson, dite Mantonica, prêtresse Santeria, auront une énorme influence sur son travail. Il entre en 1924 à l’Académie Royale des Beaux-Arts San Fernando à Madrid, mais il en part en 1926, déçu de l’enseignement.

Ce qui le conduit à fréquente l’Escuela Libre de Paisaje où il rencontre Salvador Dali. Lam est attiré par Goya, Durer et Breughel pour leur expression de la douleur. Il s’installe à Paris en 1938 et se lie d’amitié avec Picasso qui lui présente tous ses amis : André Breton, George Braque, Matisse, Léger… Il se lie d’amitié avec des personnalités de grande importante : l’écrivain Aimé Césaire, le peintre catalan Joan Miró ou encore le marchand d’art Pierre Loeb. La guerre le fait nouvellement fuir vers Cuba mais il est horrifié par le régime sévère de Batista. Curieux, il continue à voyager, se rend aux plus grandes foires de son époque et traverse différentes périodes artistiques : cubisme, surréalisme, CoBrA…

Lam est principalement connu pour ses grandes toiles expressionnistes marquées par ses origines métissées, la mythologie africaine et la Santeria.

Il décède à Paris en 1982 à l’âge de 80 ans. Son héritage culturel est inestimable et considéré comme le plus important de son temps. C’est l’un des peintres cubains les plus connus au monde.

Wifredo Lam | TateShots

Réalisateur : Tate Modern

L’œuvre de Lam, qui aborde avec poésie les thèmes de l’injustice sociale, de la nature et de la spiritualité, a été accueillie au niveau international à la fois avec consternation et acclamation. Témoin des bouleversements politiques du XXe siècle tout au long de sa longue carrière – y compris la guerre civile espagnole et le début de la Seconde Guerre mondiale – Lam a défini une manière nouvelle et unique de peindre pour un monde post-colonial. L’œuvre de Lam apporte aujourd’hui une perspective historique aux questions contemporaines.

Peintures

Oeuvres de Wifredo lam

Les Trois Grâces, 1933 Bronze 30 x 40 cm

Les Trois Grâces, 1933 Bronze 30 x 40 cm

Femme assise, 1955 Technique mixte 130 x 98 cm

Femme assise, 1955 Technique mixte 130 x 98 cm

La jungle, 1943 Gouache sur papier 240 x 230 cm

La jungle, 1943 Gouache sur papier 240 x 230 cm

Femme, 1957 Technique mixte 70 x 54 cm

Femme, 1957 Technique mixte 70 x 54 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Au-delà »

2023, Lafayette Anticipations, Paris, France

« Wifredo Lam : Indivisible »

2022, Museo Nacional de Bellas Artes, la Havane, Cuba

« Wifredo Lam : Nouveau nouveau monde »

2018, Galerie Gmurzynska, Zurich, Suisse

« Wifredo Lam et les poètes »

2016, Musée Millennium, Pékin, Chine

« Wifredo Lam »

2015, Centre Pompidou, Paris, France

« Wifredo Lam: Imagining New Worlds »

2014, McMullen Museum, Boston College, Boston, Etats-Unis

« Fire Tongues. Ceramics by Wifredo Lam »

2012, Galerie Gmurzynska, Zurich, Suisse

« Wifredo Lam, 1902-1982, voyages entre caraïbes et avants-gardes »

2010, Musée des Beaux-Arts, Nantes, France

« Lam: a obra gráfica »

2009, Caixa Cultural Rio de Janeiro / Sao Paolo, Brésil

Récompenses

Prix Marzotto

1964, Valdagno, Italie

Médaille d’or

1955, Prix Lissone, Liss, Italie

Premier Prix

1951, Salon Nacional de Pintura, Escultura y Grabado de La Havane, Cuba

Bourse d’études

1923, municipalité de Sagua la Grande, Cuba

Publications

Wifredo Lam – Catalogue raisonné

2016, Eskil Lam, Dominique Tonneau-Ryckelynck, Dorota Dolega-Ritter, Catherine David, éditions Hervé Chopin

Wifredo Lam 

1998, Max-Pol Fouchet, éditions Cercle D’art

Wifredo Lam – The Ey Exhibition

2016, Catherine David, Tate Publishing

Wifredo Lam – Catalogue raisonné

2016, Eskil Lam, Dominique Tonneau-Ryckelynck, Dorota Dolega-Ritter, Catherine David, HC Editions

Wifredo Lam

2009, Jacques Leenhardt, éditions Hervé Chopin

Wifredo Lam et l’éternel féminin

2015, Peggy Bonnet Vergara, éditions L’Harmattan

Wifredo Lam :  El ultimo viaje del buque fantasma

1976, Wifredo Lam, Gabriel Garcia Marquez, éditions Poligrafa

Wifredo Lam, 1902-1982, voyages entre caraïbes et avants-gardes

2010, Wifredo Lam, éditions Fage

Julio Le Parc (1928)

Julio Le Parc (1928)

Julio Le Parc (1928)

Julio Le Parc - Arte Latinoamericano Paris

© Didier Plowy

1928, Mendoza, Argentine – 

Plasticien. Julio Le Parc étudie à l’école nationale des Beaux-Arts de Buenos Aires. En 1958, il s’installe à Paris et suit les cours de Victor Vasarely, le « père » de l’art cinétique. C’est par ailleurs à la même époque qu’il s’inscrit dans ce courant artistique, et s’intéresse particulièrement à la reproduction du mouvement, aux lumières et à la couleur.

En 1961, Le Parc est le membre fondateur du Groupe de Recherche d’Art Visuel (G.R.A.V), et ses travaux deviennent plus sensoriels, invitant le spectateur à entrer dans le « jeu » de ses oeuvres. En 1966 il expose à New York et gagne le premier prix de la Biennale de Venise. L’artiste soutient le mouvement de Mai 68, ce qui lui vaudra une brève expulsion. Défenseur des droits de l’homme, il lutta contre les dictatures d’Amérique Latine. La BBC réalise un documentaire sur sa vie et son œuvre la même année.

Julio Le Parc est considéré comme l’un des grands noms de l’art cinétique. Ses œuvres sont présentes dans les collections de musées internationaux prestigieux tels que le MALBA de Buenos Aires, le MoMA de New York, le Centre Pompidou et la Tate Modern de Londres.

En 2012, est inauguré l’Espace Culturel Julio Le Parc à Mendoza, sa ville natale.

L’art en toucher et en mouvement de Le Parc

Réalisateur : Arte

Dans le sous-sol de sa maison-atelier de Cachan, en banlieue sud de Paris, l’artiste argentin de 91 ans Julio le Parc nous ouvre sa caverne d’Ali Baba, ode à l’art cinétique. Avec ses œuvres qui frétillent, il fait bouger les lignes : basta la contemplation et la passivité, l’heure est à l’interactivité.

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Peintures

Oeuvres de Julio Le Parc

Alchimie 90, 1990 Acrylique sur toile 195 x 260 cm

Alchimie 90

1990, acrylique sur toile, 195 x 260 cm

Continuel-lumière-mobile, 1962 Technique mixte 220 x 200 x 30 cm

Instabilité proposition architecturale

1963, technique mixte, 100 x 150 cm

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Seuil de perception, continuel-lumiére-mobile , 1960–1962, technique mixte,<br />
177.5 x 160 x 19.7 cm

Seuil de perception, continuel-lumière-mobile

1960–1962, technique mixte, 177.5 x 160 x 19.7 cm

Instabilité proposition architecturale, 1963 Technique mixte 100 x 150 cm

Continuel-lumière-mobile

1962, technique mixte, 220 x 200 x 30 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Train-Fantasmes »

2023, Foire foraine d’art contemporain, Espace Centquatre, Paris, France

« Elemental Perception »

2023, Galloire, City Walk, Dubai, Émirats arabes unis

« Quintaesencia | Julio Le Parc »

2023, Museo de Arte Contemporáneo Atchugarry (MACA), Manantiales, Uruguay

« Le Groupe de recherche d’art visuel »

2022, Galerie Denise René, Paris, France

Galerie Závodný

2020, Mikulov, République tchèque

« Julio Le Parc à Sèvres »

2019, Galerie de Sèvres, France

« Réels et virtuels 1958 – 2019 »

2019, Centre des Arts, Enghien-les-Bains, France

Fondation Amelita Fortabat

2013, Buenos Aires. Argentine

Casa Daros

2013, Rio de Janeiro, Bresil

Inauguration du Centro Cultural Julio Le Parc

2012, Mendoza, Argentine

L’œil du cyclope. Œuvres de 1959 à 1971

2011, Galerie Bugada & Cargnel, Paris, France

Otra Mirada

2010, Centro cultural Borges, Buenos Aires, Argentine

Récompenses personnelles

Prix SpeciaI International Di Tella

1964, Buenos Aires,  Argentine

Grand Prix international de Peinture

1966, Biennale de Venise, Italie

Prix Graphique Ibizagrafic 78

1978, musée d’art contemporain, lbiza, Espagne

Premier Prix

1987, 1e Biennale Internationale de Peinture, Cuenca, Equateur

Récompenses avec le G.R.A.V

Médaille d’Or

1963, Biennale de Saint Marin, Italie

Premier Prix travail d’équipe

1963, Biennale de Paris, France

Publications (sélection)

Julio Le Parc : L’œuvre infinie

2021, Julio Le Parc, Centre Contemporain de la Matmut, éditions du Canoë

Grande monographie

2019, Serge Lemoine, Jean de Loisy, Gérard Fromanger, François Morellet, Pablo Neruda, coédition Exils / Éditions du Canoë

Sois artiste et tais-toi ! Textes 1959-2017

2017, Julio Le Parc, éditions du Canoë

Julio Le Parc : Bifurcations

2017, Hans Ulrich Obrist, Julio Le Parc, Jérôme Sans, galerie Perrotin

Variations autour de la Longue Marche

2015, Pierre-Alexis Dumas, éditions Actes Sud

Julio Le Parc : Voleur de paroles

2013, Julio Le Parc, éditions Jannink

Julio Le Parc : Kinetic Works

2013, Julio Le Parc, Daros Latinamerica, Casa Daros, éditions Hatje Cantz

Lea Lublin (1916-2014)

Lea Lublin (1916-2014)

Lea Lublin (1916-2014)

Lea Lublin - Arte Latinoamericano Paris

© lea-lublin.com

9 octobre 1929, Brest, Pologne – 17 novembre 1999, Paris

Plasticienne, peintre. Sa famille, juive, émigre en Argentine en 1931.

Elle est diplômée de l’École nationale des beaux-arts Prilidiano Pueyrredón en 1949. Par la suite, Lublin travaille comme peintre. Au milieu de l’année 1960, elle s’installe à Paris. Cela la conduit au Centro de Artes Visuales de l’Institut Torquato di Tella, un centre argentin d’art expérimental et d’avant-garde à l’époque.

L’artiste crée également des performances, parfois appelées « expositions-performances ». Dans « Mon fils » (1968), elle a participé à l’Exposition de mai à Paris en emmenant son fils nourrisson dans les musées, en changeant ses couches, en l’allaitant et en l’endormant dans son lit. Son engagement féministe ne l’a plus quitté, et a durablement marqué son art. Dans les années 80 à 90, elle se passionne pour la Renaissance et engage une déconstruction des toiles de cette période. Elle enlève l’enfant Jésus de certaines toiles à la « Madone », ou ajoute des essuis-glaces moqueurs à la Joconde. Intéressée par Marcel Duchamp, Lublin déconstruit le « Readymade ». Elle le féminise en y ajoutant un sous-texte grinçant, « Le corps amer (à mère), l’objet perdu de M.D.« , où l’urinoir est recouvert d’une grande jupe transparent, d’une ventre rebondi et d’une poitrine.

Elle décède à 70 ans le 17 novembre 1999 à Paris. En 2015, le Lenbachhaus de Munich lui consacre une grande rétrospective accompagnée d’un catalogue d’exposition. En 2018, Juan Vicente Aliaga montre l’œuvre de l’artiste au Centro Andaluz de Arte Contemporáneo de Séville.

Lea Lublin au CAAC

Réalisateur : CanalSur Media

Le Centro Andaluz de Arte Contemporáneo (CAAC) (Séville) accueille une rétrospective de l’artiste franco-argentine Lea Lublin. L’exposition couvre cinq décennies de production de l’artiste. En tant qu’artiste engagée dans la découverte de la vérité derrière les réalités et les images, elle a lancé une enquête sur l’érotisme voilé qui se cache dans les représentations de la Renaissance de la relation apparemment innocente entre la Vierge et l’Enfant. Elle a également sauvé de l’oubli un tableau d’Artemisia Gentileschi et proposé une interprétation psychanalytique complexe de l’œuvre.

Peintures

Oeuvres de Lea Lublin

Dürer, del Sarto, Parmigianino, 1983, 350 x 600 cm, technique mixte

Dürer, del Sarto, Parmigianino

1983, technique mixte, 350 x 600 cm

La Joconde aux essuis-glaces, 1965, 67 x 49 x 12 cm, technique mixte

La Joconde aux essuis-glaces

1965, technique mixte, 67 x 49 x 12 cm

Sans titre, 1964, 49 x 63 cm, huile sur toile

Sans titre

1964, huile sur toile, 49 x 63 cm

Viva Boca Y el Mas Alla, année inconnue, 49 x 63 cm, technique mixte sur papier

Viva Boca Y el Mas Alla

année inconnue, technique mixte sur papier, 49 x 63 cm

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Political/Subjective Maps: Anna Bella Geiger, Magali Lara, Lea Lublin, and Margarita Paksa »

2023, Institute for Studies on Latin American Art (ISLAA), New York, Etats-Unis

« Honorar la memoria, re-visionar la realidad »

2023, Museo Lázaro Galdiano, Madrid, Espagne

Rétrospective Lea Lublin

2018, Centro Andaluz de Arte Contemporáneo, Séville, Espagne

Lea Lublin – Rétrospective

2015, Lenbachhaus de Munich, Allemagne

« Présent suspendu – Marcel Duchamp à Buenos Aires 1919-1991 – Objets perdus/objets trouvés « 

1991, Centre Régional d’Art Contemporain Midi-Pyrénées, Labège-Innopole, France

« Lea et les signes »

1990, Galerie Pierre Bernard, Nice, France

« Le porte-cierges trouvé — l’objet perdu de Marcel Duchamp « 

1989, Abbaye de Graville, Le Havre, France

« Le strip-tease de l’enfant-dieu »

1983, Galerie Yvon Lambert, Paris, France

« Le dessin du désir »

1980, Galerie del Retiro, Buenos Aires, Argentine

« Discours sur l’Art », entretiens vidéo

1979, Centre Georges-Pompidou, Paris, France

« L’organe sexuel est-il un œil ou le regard de Brunelleschi »

1977, Galerie Yvon Lambert, Paris, France

« Parcours 1965-1975 »

1975, International Cultureel Center, Anvers, Pays-Bas

Récompenses

Arts Visuels : Prix Konex de Platine

1992, Fondation Konex, Buenos Aires, Argentine

Arts Visuels : Diplôme du Mérite

1992, Fondation Konex, Buenos Aires, Argentine

Arts Visuels : Diplôme du Mérite

1982, Fondation Konex, Buenos Aires, Argentine

Publications

Mind Control

2022, Pascal Rousseau, éditions de la Sorbonne, Paris, France

Lea Lublin : Retrospective

2015, Matthias Muhling, Stephanie Weber, éditions Snoeck, Köln, Allemagne

Lea Lublin : interrogations sur l’art

1975, Matthias Muhling, entretiens vidéo en noir et blanc à Neuenkirchen et Paris, 36 min 50 sec

Olga Luna (1947)

Olga Luna (1947)

Olga Luna (1947)

Olga Luna (1947) - Arte Latinoamericano Paris

© Maison Elsa Triolet-Aragon

1947, Lima, Pérou –

Peintre. Olga Luna fait ses études à l’École Normale Supérieure des Beaux-Arts de Lima (1962-1968), puis séjourne à Madrid où elle effectue des recherches au musée du Prado (1969). Elle poursuit ses voyages d’étude dans divers pays d’Europe et d’Asie. Elle effectue un voyage au Tibet pendant les années 70, avant de s’installer, à Paris, en 1973.

Après avoir exploré différents types de figuration, Luna incorpore des éléments géométriques abstraits dans ses œuvres et, à partir de 1985, utilise régulièrement de l’argile dans ses compositions.

Son travail sur les matériaux, les formes et la lumière la conduit, depuis 2001, à décliner une série d’œuvres autour de la thématique de l’Arlequin.

Travaillant régulièrement dans le Var, Luna a fondé l’Association pour la Diffusion de l’Art en Action, structure grâce à laquelle elle réalise des projets artistiques non seulement en France mais également à l’étranger avec la participation de jeunes en situation de précarité sociale.

Ses oeuvres ont été exposées à la Maison Elsa Triolet-Louis Aragon à Saint-Arnoult-en-Yvelines en 2020

Exposition d’Olga Luna

Découvrez les coulisses de l’exposition du moment, consacrée à l’artiste péruvienne Olga Luna. Luna est une artiste péruvienne profondément attirée par l’humain, le partage et les voyages. En 1968, elle sort diplômée de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Lima (Pérou). Après un voyage d’études en Espagne où elle effectue ses recherches au musée du Prado, Olga Luna s’intéresse aux cultures orientales : son voyage au Moyen Orient et au Tibet, en 1970, marque une grande avancée dans sa vision artistique — et humaniste. En 1973, elle s’installe à Paris.

Peintures

Oeuvres d’Olga Luna

Ostinato, 1996, technique mixte, 132 x 94 cm

Ostinato

1996, technique mixte, 132 x 94 cm

S2

S2

2000, technique mixte, dimensions variables

Sans titre, 2006, peinture sur porcelaine, 26.5 x 26.5 cm

Sans titre

2006, peinture sur porcelaine, 26.5 x 26.5 cm

P13, 2006, technique mixte, dimensions variables

P13

2006, technique mixte, dimensions variables

Autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

Galerie Boa

2018, Paris, France

Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois

2017, Paris, France

La Chapelle de Clairefontaine

2017, Clairefontaine-en-Yvelines, France

La Chapelle de Clairefontaine

2016, Clairefontaine-en-Yvelines, France

Centre Arts et Cultures

2015, Cotonou, Bénin

Galerie Pascal Lansberg

2015, Paris, France

Université Nationale Hermilio Valdizán

2013, Huanuco, Pérou

« El Muro »

2013, Centro Metropolitano de Diseño, Buenos Aires, Argentine

Projets associatifs

Fondation de l’Association pour la Diffusion de l’Art en Action

Structure grâce à laquelle elle réalise des projets artistiques avec la participation de jeunes en situation de précarité sociale.

Par ce biais, l’artiste aide également d’autres pays en situation précaire, comme le Togo pour l’exposition « Mur-Art » de 2022.

 

Publications

Projet « Mur-Art » en action au Togo

2022, Fédération nationale des associations de professionnels d’arts visuels (FENAPAV)

Olga Luna

2006, Villa Tamaris, La-Seyne-sur-Mer

Olga Luna

2001, Galerie Municipale Julio Gonzalez, Arceuil, France