1er janvier 1955 – 14 juin 2021, Tucumán, Argentine 

Peintre. Victor Quiroga passe son enfance à Villa Alem, où il découvre la peinture grâce à des voisins artistes. Il étudie à la faculté des Arts de l’université nationale de Tucumán, sous la direction d’Ezequiel Linares.

En 1977, Victor Quiroga obtient une bourse pour étudier en Italie et en 1986 une autre pour la France, où il a vécu pendant 8 ans. Ses dernières expositions individuelles ont eu lieu au Centro Cultural Recoleta en 2003 et à la Galería El Puente en 2005.

Dans son vaste travail artistique, « Tito » comme on le surnomme, a travaillé sur le concept de la culture identitaire de sa province de Tucumán. Luis Felipe Noé, l’un de ses fervents admirateurs, décrit son art comme « L’alliance de l’espace virtuel, de la couleur saturée et de la vision poétique d’un monde où le mythe est implicite dans la vie quotidienne définit son travail« . Rêves, fantasmes et peurs ont trouvé en Quiroga celui qui les représente. Beaucoup ont qualifié son travail de « réalisme magique ».

Il décède d’un infarctus à l’âge de 66 ans le 14 juin 2021. Il a participé à plus de 80 expositions individuelles et collectives en Argentine et dans de nombreux pays européens comme l’Italie, la France, l’Espagne, la Pologne, la Suisse, l’Allemagne et la Hollande.

Le plasticien Víctor Quiroga a étudié à la faculté des arts de l’université nationale de Tucumán, sous la direction du maître Ezequiel Linares. En 1977, il a obtenu une bourse pour étudier en Italie et en 1986 une autre pour la France, où il a vécu pendant huit ans. Il a participé à plus de 80 expositions individuelles et collectives en Argentine et dans de nombreux pays européens tels que l’Italie, la Belgique, la France, l’Espagne, la Pologne, la Suisse, l’Allemagne et la Hollande. 

Victor Quiroga

2011, Centro Cultural Alberto Rougès (Fundación Miguel Lillo), Tucumán, Argentine

1942, Arequipa, Pérou – 

Peintre. Après avoir étudié à l’école des beaux-arts de Lima – où il a reçu la médaille d’or en 1968 – il part pour Paris en 1971. L’année suivante, il participe au Salon de Mai. À cette époque, la Commission des Beaux-Arts de Paris a sélectionné une de ses œuvres de la série « Oco Pacha » pour le Musée d’art moderne de Paris.

Son travail se caractérise également par une richesse chromatique et une harmonie formelle. L’étrange lumière qui éclaire ses toiles évoque un autre monde peuplé de ses éléments imaginaires, débordant de larves originales, transfiguré par une palette opulente, mais sagement nuancée et contrôlée.

En 2017, il réalise une rétrospective de son travail onirique et fantastique « ‘Misterio de Universo Onírico y Poético. Formas y Colores Cósmicos » à l’UNESCO, Paris. Cette rétrospective représente toutes les peintures et sculptures réalisées entre 1971 et 2014.

Depuis les années 1970, Rodolfo Quiróz mène des recherches sur la mythologie des civilisations précolombiennes. Nombre de ses toiles portent les titres de dieux, de déesses et de démons de la côte et des hauts plateaux péruviens. L’artiste a réussi à construire une œuvre éloignée de la figuration, du surréalisme et de l’art post-moderniste. Il est un explorateur de son monde intérieur afin de matérialiser sur la toile ses éblouissantes visions cosmiques.

L’artiste péruvien Rodolfo Quiroz vient d’inaugurer une rétrospective au siège de l’UNESCO à Paris. Il était avec Jordi Batalle dans l’émission El invitado de RFI pour nous en parler.

Radio France internationale, généralement désignée par son sigle RFI, est une station de radio publique française à diffusion internationale, créée le 6 janvier 1975. Elle fait suite à une série de radios internationales françaises qui débute avec Le Poste colonial le 6 mai 1931.

Quiroz

1982, Rodolfo Quiroz, Gaston Diehl, Galerie Art Yomiuri, Paris, France