1958, Rio de Janeiro, Brésil

Peintre. Fils du poète Lêdo Ivo, il baigne dans un milieu intellectuel et culturel pendant son enfance. Gonçalo Ivo peint depuis l’âge de sept ans et se passionne pour les natures mortes d’Odilon Redon. A 16 ans, il découvre le travail de Sergio Campos Mello au musée d’art moderne de Rio et reste profondément marqué par son travail conceptuel.

En 1976, Ivo décide d’étudier l’architecture à l’urbanisme à l’Université Fédérale de Fluminense. En 1978, il réalise sa première exposition au Salon National des Arts Plastiques de Rio et participe à une exposition itinérante à Tokyo, Kyoto, Adami et au MAM de São Paulo. Depuis les années 80, il fait l’objet de près de 40 expositions à travers le monde. Gonçalo Ivo séjourne entre le Brésil et Paris où il s’est installé en 2000.

Son abstraction est fortement influencé par ses origines brésiliennes par les couleurs et variétés. Ses peintures ont servis d’imprimés, utilisés dans des défilés de mode.

Ses œuvres ont été présentées dans le cadre d’importantes expositions collectives et individuelles dans des musées et galeries du Brésil, d’Amérique du Nord, du Japon et d’Europe, tels que le Musée national des beaux-arts, l’Instituto Moreira Salles et le Musée d’art moderne de Rio de Janeiro.

Claudio Pinto a réalisé un documentaire sur l’oeuvre globale de l’artiste brésilien Gonçalo Ivo. 

Son œuvre, analysée par des critiques et des écrivains comme Marcelin Pleynet, Lionello Puppi, Lydia Harambourg, Frederico Morais, Valter Hugo Mãe, Fernando Cocchiarale, Paulo Venancio Filho, Marcus de Lontra Costa et Felipe Scovino, est largement documenté dans plusieurs livres et catalogues.

Gonçalo Ivo – a pele da pintura

2016, Museu Oscar Niemeyer

Gonçalo Ivo : Contemplaciones

2015, Gonçalo Ivo, Martín López-Vega, éditions Papeles Mínimos

Gonçalo Ivo : la terre des arbres

2000, Gonçalo Ivo, éditions Extante

Gonçalo Ivo

1999, Frederico Morais, éditions Salamandra

Gonçalo Ivo

1958, Fernando Cocchiarale, éditions Pinakotheke