Rómulo Macció (1931-2016)

Rómulo Macció (1931-2016)

Rómulo Macció (1931-2016)

Rómulo Macció (1931-2016) - Arte Latinoamericano Paris

© Ámbito

1931 – 2016, Buenos Aires, Argentine

Peintre. Il naît dans une famille de la classe moyenne de Buenos Aires. Macció est très vite attiré par l’art et commence à pratiquer le dessin en autodidacte à 14 ans. Il devient apprenti dans une agence de publicité, où il est reconnu pour son style contemporain. Ce travail aura une influence notable dans son travail.

Macció expose ses premières compositions surréalistes à Buenos Aires à la galerie Gatea en 1956. Il rejoint un mouvement surréaliste et crée même des supports pour ses collègues. Son travail abstrait attire l’attention de Clorindo Testa, qui l’invite à rejoindre le groupe Boa. C’est la branche argentine du surréalisme parisien, et cela motive Macció dans son travail. Les problèmes sociaux de l’Argentine l’influencent également, n’hésitant pas à en parler dans ses oeuvres. Son travail s’orne de couleurs vives, de figures vaguement humaines perdues dans des dédales abstraits.

Il s’installe à Paris en 1964 et devient ami avec des comparses comme Luis Felipe Noé. Avec ce dernier, il contribue à lancer le mouvement de la Nueva Figuración qui a balayé l’art latino-américain dans les années 1960 jusqu’en 1965, année de dissolution du groupe. Entretemps, son travail devient mélancolique, montre les dégâts de la pollution et de la maladie, ainsi que la décadence urbaine de Buenos Aires. Son travail connaît progressivement une reconnaissance internationale. Il est l’objet de nombreuses critiques positives sur son travail, le célèbre Hilton Kramer disant à son sujet  » M. Maccio rassemble certains éléments de style qui sont le plus souvent considérés comme des entreprises picturales distinctes « .

Il décède à l’âge de 84 ans le 11 mars 2016 à Buenos Aires.

Rómulo Macció en el CCR

Réalisateur : el ciclista productora

L’artiste parle de son travail, de ses méthodes de travail et de son exposition « Repertorio », à la salle Cronopios du Centro Cultural Recoleta.

Le Centre Culturel Recoleta est un centre d’exposition et d’événements culturels situé dans le quartier de Recoleta, Buenos Aires, Argentine. Il organise des sculptures et des expositions, ainsi que des concerts et des présentations artistiques et des ateliers de divers types

Peintures

Oeuvres de Rómulo Macció

El fumador, 1969, huile sur toile, 140 x 130 cm

El fumador

1969, huile sur toile, 140 x 130 cm

Longue pensée, 1977, huile sur toile, 99.7 x 90.2 cm

Longue pensée

1977, huile sur toile, 99.7 x 90.2 cm

Escalas, 1968, huile sur toile, 149.2 x 149.5 cm

Escalas

1968, huile sur toile, 149.2 x 149.5 cm

Emplazamiento, 1965, huile sur toile, 161.3 x 129.2 cm

Emplazamiento

1965, huile sur toile, 161.3 x 129.2 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Les invendus »

2022, Galerie 1900-2000, Paris, France

« Vitrina »

2021, Herlitzka & Co., Buenos Aires, Argentine

« The Medium is the Message and The Message is Within the Painting / Renewing messages and paintings »

2021, Herlitzka & Co., Buenos Aires, Argentine

« Rómulo Macciò. Crónicas de Nueva York »

2019, Colección de Arte Amalia Lacroze de Fortabat, Buenos Aires, Argentine

« Rómulo Maccio. Pinturas 2015 »

2016, Vasari, Buenos Aires, Argentine

« Rómulo Maccio. Repertorio »

2014, Centro Cultural Recoleta, Buenos Aires, Argentine

« Rómulo Maccio. Momentos »

2013, Fundación Klemm, Buenos Aires, Argentine

« Retratos y lugares. Obras de Rómulo Maccio »

2007, Museo Nacional de Bellas Artes (MNBA), Buenos Aires, Argentine

Récompenses

Premio Konex Pintura : Quinquenio 1992 – 1996

2002, Fundacion Konex, Buenos Aires, Argentine

Premio Konex Pintura : Quinquenio 1982 – 1986

1992, Fundacion Konex, Buenos Aires, Argentine

Premio Konex : Pintura Expresionista

1982, Fundacion Konex, Buenos Aires, Argentine

Guggenheim International Prize

1964, Guggenheim Foundation, New York, Etats-Unis

Prix International

1962, Torcuato di Tella Institute, Buenos Aires, Argentine

Premio Marcelo De Ridder

1959, Museo Nacional de Bellas Artes, Buenos Aires, Argentine

Publications

Rómulo Macció, Crónicas de Nueva York

2019, Florencia Battiti, Roberto Amigo, Colección de Arte Amalia Lacroze de Fortabat

Painting in a state of exception : New Figuration in Argentina, 1960-1965

2018, Patrick Frank, University Press of Florida, Etats-Unis

Rómulo Macció

1990, Warren Kiefer, Hotel de Ville de Paris, France

Rómulo Macció : Seleccion de pinturas 1963-1980

1982, Rómulo Macció, éditions De Arte Gaglianone

Rómulo Macció : Dibujos de Bolsillo Choripzus

1970, Rómulo Macció, Bolsillo Choripzus, éditions Sudamericana, Buenos Aires, Argentine

Mateo Manaure (1926-2018)

Mateo Manaure (1926-2018)

Mateo Manaure (1926-2018)

Mateo Manaure (1926-2018) - Arte Latinoamericano Paris

© Manuel Sarda

18 octobre 1926, Uracoa, Vénézuela – 19 mars 2018, Caracas, Vénézuela

Peintre. Entre 1941 et 1946, il étudie à l’Escuela de Artes Plásticas y Artes Aplicadas sous la direction d’Antonio Edmundo Monsanto. Il y étudie les arts graphiques dans l’atelier de Pedro Ángel González, dont il est l’assistant. Il commence également à participer au salon des artistes du Museo Bellas Artes de Caracas.

En 1947, Mateo Manaure remporte le premier prix national des arts plastiques et se rend à Paris. Il retourne à Caracas l’année suivante pour travailler avec le Taller Libre de Arte. Manaure retourne à Paris en 1950 et de s’implique dans le mouvement artistique de Los Disidentes (« les dissidents »). Ce mouvement marquait la rupture avec le figurativisme et le renouvellement de la peinture vénézuélienne traditionnelle. Il retourne à Caracas en 1952 pour fonder la Galería Cuatro Muros avec Carlos González Bogan, et présente la première exposition d’art abstrait au Venezuela. Il commence également à collaborer avec l’architecte Carlos Raúl Villanueva, d’abord sur la Cité universitaire de Caracas, à laquelle il contribue avec 26 œuvres d’art et est  » promu  » superviseur artistique du campus, puis sur d’autres espaces publics comme le réaménagement du quartier du 23 de Enero. Pendant les années suivantes, Manaure a continué à se développer au sein de l’art abstrait, qui constituait l’avant-garde artistique vénézuélienne de l’époque.

En honneur à son travail, en 2009, le musée d’art contemporain Mateo Manaure a été ouvert à Maturín, Monagas. 

L’artiste décède à Caracas le 19 mars 2018 à l’âge de 92 ans. Il est considéré comme un maître de l’abstractionnisme et pour avoir créé la plus grande peinture murale en verre du monde à Caracas.

Mateo Manaure

Mateo Manaure est né à Uracoa, dans l’État de Monagas, en 1926. En 1950, il commence à travailler à la création de multiples peintures murales pour la Ciudad Universitaria.

Depuis lors, il se consacre entièrement à sa production artistique, ainsi qu’à l’enseignement dans divers domaines et maisons d’études. Sa longue carrière a fait de lui l’un des artistes vénézuéliens les plus admirés et respectés.

Peintures

Oeuvres de Mateo manaure

Columna Policromada, 2006, acrylique sur bois, 160 × 60 cm

Columna Policromada

2006, acrylique sur bois, 160 × 60 cm

Construcción (Homenaje a Marcel Duchamp), 1996, acrylique sur panneau, 129,5 x 120 cm

Construcción (Homenaje a Marcel Duchamp)

1996, acrylique sur panneau, 129,5 x 120 cm

Cubo, 1991, acrylique sur bois, 100 × 100 cm

Cubo

1991, acrylique sur bois, 100 × 100 cm

Composición no 2, 1956, duco sur bois, 100 x 49,5 cm

Composición no 2

1956, duco sur bois, 100 x 49,5 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« para jeron »

2022, mendoza.gallery, Caracas, Miami

« re-OPEN / re-VALUE »

2022, mendoza.gallery, Caracas, Miami

« Mateo Manaure – Anthology »

2021, Durban Segnini Gallery, Miami, Etats-Unis

« Work In Progress »

2021, Odalys, Madrid, Espagne

« LARGE FORMAT »

2018, Durban Segnini Gallery, Miami, Etats-Unis

« Speaking of Abstraction »

2016, Durban Segnini Gallery, Miami, Etats-Unis

« Abstraction and Constructivism. Continuity and Breakdown of Latin American Modernity, »

2015, Durban Segnini Gallery, Miami, Etats-Unis

« Mateo Manaure | Columnas Policromadas »

2014, Odalys, Madrid, Espagne

Récompenses

Prix Armando Reverón

1994, Asociación Venezolana de Artistas Plásticos, Caracas, Vénézuela

Prix Ie Salon Marcos Castillo

1966, Instituto Nacional de Hipódromos, La Rinconada, Caracas, Vénézuela

Prix John Boulton

1965, Salón Oficial, Caracas, Vénézuela

Prix John Boulton

1950, Salón Oficial, Caracas, Vénézuela

Prix National des Arts Plastiques

1947, Salón Oficial Anual de Arte Venezolano, Caracas, Vénézuela

Publications

Mateo Manaure: Columnas Policromadas

2013, Belgica Rodriguez, Durban Segnini Gallery, Miami, Etats-Unis

Mateo Manaure Arte y Conciencia

1989, Lucila Vélasquez, Ernesto Armitano Editor, Venezuela

Rafael Martínez (1940-2021)

Rafael Martínez (1940-2021)

Rafael Martínez (1940-2021)

Rafael Martinez (1940-2021) - Arte Latinoamericano Paris

© Rafael Martínez Art

19 octobre 1940, San Fernando de Apure, Vénézuela – 9 mai 2021, Valencia, Vénézuela

Sculpteur, plasticien. Il étudie à l’école des Beaux-Arts Rafael Monasterios à Maracay. En 1959, le gouvernement vénézuelien lui octroie une bourse pour réaliser ses études artistiques à Paris. Ses études à Paris changent grandement son travail artistique, le poussant véritablement vers l’art cinétique et le constructivisme.

C’est à ce moment qu’il réalise des oeuvres de cette mouvance artistique intitulée « Relieves Cineticos », oeuvres tactiles et impliquant le spectateur. Bientôt, Martinez se fait remarquer par d’autres artistes cinétiques comme Jesus Soto, Carlos Cruz-Diez, Julio Le Parc ou Getulio Alvani. Il partipe à leur première exposition « Naissance de l’Art Cinétique ». Naturellement, il devient membre de l’équipe de Soto dans son travail, et contribue à la construction de ses « Pénétrables ». L’amitié de Soto et ses études façonnent de plus en plus le travail de Martinez.

En 1972, il part en Italie visiter Brescia, Rome, et Milan. Il y développe ses oeuvres cinétiques en multipliant les expositions en France, en Suisse et en Allemagne. En 1978, Martinez retourne au Vénézuela, s’installe à La Guaira pour développer encore plus ses « Volumenes Virtuales ». En 1981, il voyage à New York, expose ses travaux et étudie au Pratt Graphic Art Center, où il se familiarise avec l’acrylique sur papier. En 1984, il s’établit définitivement à Valencia au Vénézuela pour continuer son art cinétique et développer cette fois-ci la sculpture. L’artiste y inclut des formes marines, des éléments métalliques, des effets de rouille, des découpes très étudiées. En 2013, certaines de ses oeuvres monumentales ornent certaines villes du Vénézuela comme Valencia et Caracas.

Il décède le 9 mai 2021 à Valencia, à l’âge de 81 ans. Depuis 2014, ArtEspacio Martínez est une organisation familiale  pour présenter l’artiste qui travaille dans les médias de la peinture et de la sculpture depuis plus de 60 ans.

 

Rafael Martínez, 1940-2021

Réalisation : Barbara Martinez

« Chers tous et toutes, Vous avez connu Rafael, collègue, ami, complice, vous lui avez été proche et sa famille souhaite partager cette triste nouvelle avec vous. Rafael, toujours habité d’une belle énergie s’en est allé paisiblement dans son sommeil. Il nous a quitté dans la nuit du dimanche 9 mai, mais son esprit vivant, créatif et généreux est parmi nous. Les notes, les paroles, la réflexion qu’il laisse après lui sont la continuité de son être et de sa manière d’être. Son corps ne peut que se reposer. Quant à son âme, elle ne s’arrête jamais de vivre…Une commémoration a lieu aujourd’hui à Valencia et une incinération est prévue ensuite. Nous espérons qu’un temps meilleur permettra de lui rendre hommage de manière chaleureuse et conviviale. Tous vos messages sont les bienvenus et seront transmis à sa famille, À ses enfants, Alice, Barbara, Fernanda, Daniela et David« 

Peintures

Oeuvres de Rafael Martínez

Cuadrado amarillo, 1975, acrylique sur carton et acier, 60 x 60 x 16 cm

Cuadrado amarillo

1975, acrylique sur carton et acier, 60 x 60 x 16 cm

Volumes dans l'espace, 1970, technique mixte, 100 x 100 cm

Volumes dans l’espace

1970, technique mixte, 100 x 100 cm

Carrés sur Bleu, 1970, métal et bois, 60 x 60.5 x 15 cm

Carrés sur bleu

1970, métal et bois, 60 x 60.5 x 15 cm

Lignes dans l’espace, 1970, technique mixte, 50 x 50 x 20 cm

Lignes dans l’espace

1970, technique mixte, 50 x 50 x 20 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Antologica Rafael Martinez en el Tiempo »

2015, Centro Cultural Eladio Aleman Sucre, Valencia, Vénézuela

« Metamorfosis »

2012, Galeria 700, Macaraibo, Vénézuela

« Homenaje a Jesus Soto »

2009, Centro Cultural Eladio Aleman Sucre, Valencia, Vénézuela

Bienal de Arquitectura Malaussena

2008, Diario El Carabobeño, Naguanagua, Vénézuela

« El Espiritu de las Formas »

2007, Espacio Chroma, Valencia, Vénézuela

« Saludo al Mar »

2004-2006, Ateneo de Naguanagua, Naguanagua, Vénézuela

« Rafael Monasterios »

1992, Escuela de Artes Plasticas, Maracay, Vénézuela

Récompenses

Prix Armando Reveron

2014, Asociación Venezolana de Artistas Plásticos (AVAP), Caracas, Vénézuela

Ordre Arturo Michelena

2014, Conseil Municipal de Valencia, Vénézuela

Prix Arturo Michelena (partagé avec Filiberto Cuevas)

1971, XXIXe Salon Arturo Michelena, Valencia, Vénézuela

Prix Julio Morales Lara

1971, XXIXe Salon Arturo Michelena, Valencia, Vénézuela

Prix de peinture

1965, IIe Festival interuniversitaire, Caracas, Vénézuela

Publications

Líneas, volumenes, espacio y tiempo

2019, Pablo Villaizan, Galería José Antonio, Lima, Pérou

Roberto Matta (1911-2002)

Roberto Matta (1911-2002)

Roberto Matta (1911-2002)

Roberto Matta - Arte Latinoamericano Paris

© Archives Roberto Matta

11 novembre 1911, Santiago du Chili – 23 novembre 2002, Civitavecchia, Italie

Peintre. Roberto Matta étudie l’architecture en 1933, mais abandonne pour s’installer en France. Il travaille avec Le Corbusier, voyage en Espagne, rencontrant Federico Garcia Lorca, en Scandinavie et à Londres où il rencontre Magritte. Fuyant la guerre, il part pour New York. La galerie Julien Lévy expose ses premiers travaux. Là-bas, Matta découvre Pollock, qui fréquente son atelier. En 1948, Breton l’exclut du groupe surréaliste, car il le soupçonne d’une liaison avec la femme du peintre Arshile Gorky, cause de son suicide. Matta retourne alors au Chili. Mais après le coup d’État du général Pinochet au Chili du 11 septembre 1973, il coupe tout lien avec son pays natal et retourne en France. Il a l’idée d’aider à la création d’un groupe d’artistes considérés comme ses fils spirituels : Magie-Image. Ses enfants sont Gordon Matta-Clark (1943-1978), John Sebastian dit Batan (1943-1976), Pablo, Federica, Ramuntcho, et Alisée. Certains ont suivi comme leur père une carrière artistique.

On peut qualifier son œuvre de « surréalisme spatial »: de grands formats où s’étalent des formes cosmiques, des arabesques, des pointes, avec une forte connotation sexuelle. Les jeux de lumières et les couleurs y sont particulièrement impressionnants.

Le « dernier des surréalistes » décède le 23 novembre 2002 à 91 ans. L’héritage de Matta est d’une importance colossale dans le monde de l’art latino-américain. Par sa culture étendue, sa curiosité sans limites, ses voyages et son style surréaliste avant-gardiste, Matta a su marquer les esprits de son vivant.

« Intimatta », documentaire

Réalisateur : Ramuntcho Matta

Est-ce aisé de parler de son propre père dans un documentaire? Y-a-t-il de la place pour autre chose dans la vie d’un artiste aussi imposant que Matta lui-même ? Son fils Ramuntcho parle avec éloquence, justesse et poigne de la relation avec ce père. Il magnifie le travail de celui-ci dans de belles séquences, puis retombe doucement dans des échanges à la fois tendres et amers entre père et fils. Ce cadet, Ramuntcho, devient alors le dernier espoir de transmission depuis les morts tragiques de Batan et Gordon Matta-Clark. Quant à Matta, il se cache, se retrouve, éclate, puis disparaît. Une intimité en note « Matta », qui explose comme un opéra puis se mue comme une ballade, et nous saisit à la gorge.

Peintures

Oeuvres de Roberto Matta

Le pendu, 1942 huile sur toile 97 x 130 cm

Le pendu

1942, huile sur toile, 97 x 130 cm

La coulée automatique, 1976 Huile sur toile 200 x 300 cm

La coulée automatique

1976, huile sur toile, 200 x 300 cm

Crucifiction (Croix Fiction), 1938 Huile sur toile 73 x 92 cm

Le pendu

1942, huile sur toile, 97 x 130 cm

Combustion lente, 1959 Huile sur toile 80 x 100 cm

Combustion lente

1959, huile sur toile, 80 x 100 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions (sélection)

« Roberto Matta The Visionary Abstract Expressionist »

2023, MONTEROART Gallery, Walddorfhäslach, Allemagne

« Roberto Matta: Les Témoins De l’Univers »

2022, Galerie Gmurzynska, Zurich, Suisse

« Artwork in Focus: Two works by Roberto Matta »

2021, Olivier Malingue Gallery, Londres, Royaume-Uni

« Roberto Matta: Inner Worlds »

2020, Sims Reed Gallery, Londres, Royaume-Uni

« Seven Works by Roberto Matta »

2019, LNS Gallery, Miami, Etats-Unis

« Roberto Matta – UltraMatta »

2019, Paradisoterrestre, Bologne, Italie

« Roberto Matta & Federica Matta: Two Generations »

2019, Rosenbaum Contemporary, Boca Raton, Etats-Unis

« Roberto Matta – Les Terres »

2018, Galerie Diane de Polignac, Paris, France

« Roberto Matta : On the Edge of a Dream »

2017, Robilant + Voena Gallery, Londres, Royaume-Uni

« Roberto Matta : Les Oh! Tomobiles »

2016, Auckland Art Gallery Toi o Tāmaki, Auckland, Nouvelle-Zélande

Récompenses

Membre du conseil d’administration

1998, Instituto Cervantes, Espagne

Prix ​​Gabriela Mistral

1997, Ordre du mérite culturel et éducatif de l’État du Chili

Prix Premium Imperiale de peinture

1995, Japan Art Association, Tokyo, Japon

Prix ​​Prince des Asturies

1992, Fondation Princesse des Asturies, Séville, Espagne

Médaille d’or

1985, Ecole des Beaux-Arts, Espagne

Publications

Roberto Matta and the Fourth Dimension

2019, Dmitry Ozerkov, Oksana Salamatina, éditions Skira, Suisse, France

Roberto Matta : On the Edge of a Dream

2016, Paola Gribaudo, éditions Skira, Suisse, France

Roberto Matta: Casa Matta

2013, Roberto Matta, Edizioni Corraini, Mantoue, Italie

Matta. Entretiens morphologiques

1983, G.Ferrari, Roberto Matta, éditions Sistan, Londres, Royaume-Uni

Roberto Matta, Paradise Now

1977, Alain Sayag, Maxwell Davidson Gallery & Jeffrey Loria & Co, New York, Etats-Unis

Roberto Matta, l’oeuvre gravé

1975, Georges Visat, Roberto Matta, éditions Sonet, Paris, France

Fernando Maza (1936-2016)

Fernando Maza (1936-2016)

Fernando Maza (1936-2016)

Fernando Maza - Arte Latinoamericano Paris
© Nathalie Kantt

1936, Buenos Aires, Argentine – 2016, Nogent-sur-Marne

Peintre. Fernando Maza développe très tôt une attirance pour les arts manuels. Après la mort de son père, il occupe un emploi dans un bureau et s’intéresse à la poésie, l’écriture et la réalisation.

A 20 ans, il réalise des illustrations pour des magazines et commence à peindre. En 1959, Maza rejoint « les Informalistas », un groupe d’artistes abstraits argentins comme Luis Alberto Wells ou Alberto Greco. Cette année, il vend ses toiles et réalise deux expositions. En 1960 l’artiste voyage à New York, c’est un grand choc pour lui, ce qui l’inspirera beaucoup par la suite dans son travail. Il a reçu en 1960 la bourse de l’Union panaméricaine, en 1971 la bourse de la John Simon Guggenheim Memorial Foundation. Il est invité à la 36ème Biennale de Venise, puis s’installe à Paris en 1978. Maza reçoit 1984 le Prix national de peinture en Argentine. Dix ans plus tard, la fondation Fortabat à Paris lui a donné le premier prix de peinture ex æquo avec le sculpteur Jack Vanarsky

Son style est à la fois poétique et mélancolique : de grands espaces vides où se trouvent des pans de mur, des maisons ou des chiffres symboliques, abandonnés au milieu du néant. Dans sa carrière artistique, la littérature côtoie aussi la peinture.

Il s’éteint à Nogent sur Marne le 16 janvier 2016 à l’âge de 79 ans.

Fernando Maza

Réalisateur : La Galerie Argentine

La Galerie Argentine Chez Vous : voici un focus sur l’artiste argentin Fernando Maza et quelques unes de ses toiles emblématiques.

La Gaelrie Argentine est rattachée à l’Ambassade de l’Argentine. C’est la représentation diplomatique de la République française auprès de la République argentine. Elle est située à Buenos Aires, la capitale du pays, et son ambassadeur est, depuis 2019, Claudia Scherer-Effosse

Peintures

Oeuvres de Fernando Maza

Sans titre, 1968 Huile sur toile 116,5 x 154,5 cm

Sans titre

1968, huile sur toile, 116,5 x 154,5 cm

Composition, 1975 Aquarelle sur papier 57 x 76 cm

Composition

1975, aquarelle sur papier, 57 x 76 cm

Composition R2, 1976 Aquarelle sur papier 74 cm x 104 cm

Composition R2

1976, aquarelle sur papier, 74 cm x 104 cm

Composition, 1976 Aquarelle sur papier 27 x 37 cm

Composition

1976, aquarelle sur papier, 27 x 37 cm

autres informations

Travaux, récompenses & livres

Expositions notables

« Párizsi Kocka III »

2023, Abigail Galéria és Aukciós Ház, Budapest, Hongrie

« Pensar en Abstracto »

2020, MAMAN Fine Art Gallery, Miami, Etats-Unis

« 20 années la Capitale »

2018, Galerie La Capitale, Paris, France

« The World as It Is – Figurative Variations »

2015, Galería Jorge Mara-La Ruche, Buenos Aires, Argentine

« Magnet : New York »

2010, Proa Foundation, Buenos Aires, Argentine

Récompenses

Premier prix de peinture 

1994, fondation Fortabat, Paris, France (ex-aequo avec Jack Vanarsky)

Prix national de peinture

1984, Buenos Aires, Argentine

Bourse artistique

1971, John Simon Guggenheim Memorial Foundation, New York, Etats-Unis

Bourse artistique

1960, Union internationale des Républiques panaméricaines

Publications

Pintores Argentinos del Siglo XX : Maza (n°123)

1982, Centro Editor de América Latina, Buenos Aires, Argentine

Fernando Maza : Exposition

1972, Marie-Louise Jeanneret, [Galerie] Art moderne, Genève, Suisse